Quand Gwenaëlle a fait un appel pour demander aux anciennes de revenir pour cette semaine spéciale, j'ai été tentée et puis, je me suis dit : "Je vais passer pour la fille qui ne peut pas fermer la parenthèse Mademoiselle Dentelle." J'ai partagé la réflexion avec l'amoureux, qui a dit : "Mais en même temps, tu ne l'as jamais fermée !" Et j'ai aussi demandé son avis à Gwenaëlle, qui a dit : "On s'en fiche, on veut les chroniques de Madame Gezillig, nous (oui, je parle pour les lectrices) !"
Il n'en fallait pas plus pour me convaincre. Ben oui, je suis atteinte d'une grave maladie : je suis wedding-addict (mais je ne suis pas la seule).
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